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Nouvelle publication : « COMMENT METTRE FIN À UNE DICTATURE SOLIDEMENT INSTALLÉE »

16 Fév

Vient de paraître aux éditions L’Harmattan

« COMMENT METTRE FIN À UNE DICTATURE SOLIDEMENT INSTALLÉE »

Auteur : Fweley Diangitukwa

Prix : 14 euros

4ème page de couverture :

Ce livre est une réflexion sur la tyrannie. Il s’adresse à tous les citoyens du monde qui cherchent à se débarrasser d’une dictature solidement installée mais qui ne trouvent pas la voie à suivre ou la solution idéale. Il contient plusieurs recettes et certaines d’entre elles ont bien fonctionné dans certains pays. Le contexte étant différent d’un continent à l’autre, d’un pays à l’autre et d’une dictature à l’autre, il est nécessaire de bien choisir la recette sinon les recettes la/les plus adaptée(s) au contexte national. Mais dans toutes les circonstances, trois forces doivent absolument se mettre en mouvement et se rencontrer pour qu’il y ait un véritable changement de système : le nombre de participants qui crée une grande union, l’intelligence qu’on appelle stratégie et la détermination qui permet d’aller jusqu’au bout de la vision commune.

L’auteur nous fait entrer dans les coulisses des recettes qui font tomber les dictatures et qui permettent aux pays fraîchement sortis de la tyrannie de se stabiliser et de se développer.

Ce livre mérite d’être lu par tous les Africains cultivés.

Fweley Diangitukwa est professeur de Science Politique et de Sciences de Gestion. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et de plusieurs articles publiés dans des revues scientifiques, entre autres : La thèse du complot contre l’Afrique. Pourquoi l’Afrique ne se développe pas ; Le règne du mensonge politique en RD Congo. Qui a tué Kabila ? ; L’Afrique doit renaître ; Quand les Africains se réveilleront, le monde changera ; Comment devenir un leader charismatique ; Le rôle du leader dans l’organisation ; La lointaine origine de la gouvernance en Afrique.

Pour vos commandes :

éditions L’Harmattan

7, rue de l’école Polytechnique

75005 Paris

Tél. : 0033 1 40 46 79 10

ou

contactez une grande librairie dans votre pays de résidence qui commandera le livre à votre place.

Vient de paraître : Fweley Diangitukwa, « Le rôle du leader dans l’organisation »

7 Août

Titre : Le rôle du leader dans l’organisation

Auteur : Fweley Diangitukwa, docteur en sciences économiques et sociales, mention : science politique de l’Université de Genève, est professeur de science politique à l’Université Omar Bongo de Libreville au Gabon et visiteur à l’Université panafricaine de Yaoundé II- Soa. Il est l’auteur de plusieurs publications et articles scientifiques qui l’ont fait connaître.

Éditeur : Éditions Universitaires Européennes (EUE)

Nombre de pages : 692 pages

Numéro ISBN : 978-3-8473-8944-6

Prix :98.90 € euros

Pour commander :

Mme Florence Perin
f.perin@editions-ue.com
ÉDITIONS UNIVERSITAIRES EUROPÉENNES
Bahnhofstraße 28

D-66111 Saarbrücken
Germany (Allemagne)

Résumé :

La question de leadership est récurrente dans la plupart des pays, particulièrement dans les pays africains où il suffit souvent de changer la manière de gouverner l’État ou de diriger l’entreprise pour que l’économie décolle. Pour résoudre ce problème, il devient urgent que les citoyens ou les employés placent des femmes et des hommes compétents – de vrais leaders et de vrais managers – à la tête des États et des entreprises.

Décrire le rôle du leader dans l’organisation est une tâche fastidieuse et ardue car ce rôle est mouvant, concurrentiel et surtout incertain, dans l’espace et dans le temps. Il dépend étroitement des circonstances et de l’environnement. Dans cette matière, la compréhension la plus poussée ne peut se faire sans approches théoriques. D’où la nécessité de faire appel non à une théorie mais à des théories des organisations pour mieux comprendre le leadership et le management. En réalité, pour parvenir à bien décrire le rôle du leader dans l’organisation, il faut faire appel à plusieurs disciplines des sciences de gestion, des sciences économiques, sociales, humaines, notamment l’économie, la science politique, la sociologie des organisations et la psychologie.

Les leaders et les managers jouent un rôle important dans le processus de prise de décision. D’où également la nécessité de recourir à l’analyse descriptive du leadership et du management.

Nous observons régulièrement les leaders lorsqu’ils agissent mais nous ignorons souvent leurs modes de raisonnement qui permettent de mieux comprendre les décisions qu’ils prennent et leurs stratégies de communication dans les ensembles organisés. Grâce à l’apport de l’organisation, le leader devient plus efficace et, à son tour, l’organisation s’améliore grâce à la vision du leader qui la pilote.

Ce livre est une réponse à la question préoccupation de leadership et de management. Il décrit les contours des organisations et la place qu’occupent les leaders et les managers qui assurent leur fonctionnement. Il souligne aussi les forces et les faiblesses des organisations afin de comprendre la portée et la fragilité des décisions stratégiques prises par les leaders ainsi que l’influence de l’environnement dans le changement organisationnel. Il est un outil indispensable à tout dirigeant qui cherche à optimiser son leadership, aux chercheurs et aux étudiants qui cherchent à meubler leur culture.

Comment mettre fin à une dictature solidement installée

15 Avr

Cliquez sur ce lien pour avoir accès

http://www.editions-mondenouveau.com/#!shop/c1dng

Fweley Diangitukwa

COMMENT METTRE FIN À UNE DICTATURE

SOLIDEMENT INSTALLÉE

Éditions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

 Ce livre s’adresse à tous les citoyens du monde qui cherchent à se débarrasser d’une dictature solidement installée mais qui ne trouvent pas la voie à suivre ou la solution idéale. Il contient plusieurs recettes et certaines d’entre elles ont bien fonctionné dans certains pays. Le contexte étant différent d’un pays à l’autre et d’une dictature à l’autre, il est nécessaire de bien choisir la recette sinon les recettes la/les plus adapté(e)s au contexte national. Mais dans toutes les circonstances, trois forces doivent absolument se mettre en mouvement et se rencontrer pour qu’il y ait changement : le nombre en créant l’union, l’intelligence qu’on appelle stratégie et la détermination qui permet d’aller jusqu’au bout de la vision commune.

L’auteur nous fait entrer dans les coulisses des recettes qui font tomber les dictatures et qui permettent aux pays fraîchement sortis de la tyrannie de se stabiliser et de se développer.

Fweley Diangitukwa est docteur en Sciences Économiques et Sociales de l’Université de Genève. Professeur de Science Politique et de Sciences de Gestion. Il a enseigné au département de Science Politique de l’Université de Genève, à l’Université Omar Bongo à Libreville au Gabon et à l’Université panafricaine à Yaoundé au Cameroun. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et de plusieurs articles publiés dans des revues scientifiques.

Publication : « Quand les Africains se réveilleront, le monde changera »

29 Déc

Fweley Diangitukwa

 

 

QUAND LES AFRICAINS SE RÉVEILLERONT, LE MONDE CHANGERA

 

TRADITIONS ET DÉVELOPPEMENT

Préface du professeur Charles Binam Bikoi

 

Editions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

Nombre de pages : 276

Prix : 20 euros

Pour commander :

Fweley Diangitukwa

1, avenue Rolliez

1800 Vevey/Suisse

Téléphone : 00 41 78 898 54 84

afriquenouvelle@bluewin.ch

 

« À quoi bon embellir la vérité ? Au départ, la colonisation ne fut pas un acte civilisateur et ne releva pas d’un désir de civiliser. Ce fut un acte de force motivé par l’intérêt. Un épisode de la compétition vitale qui n’a cessé de s’envenimer entre personnes, entre groupes. Les peuples qui partaient s’emparer de colonies dans de lointains pays pensaient avant tout à eux-mêmes, et travaillaient à augmenter leurs richesses et accroître leur pouvoir ».

Albert Sarraut, secrétaire d’État aux Colonies en 1923, in Kwame Nkrumah, L’Afrique doit s’unir, Présence Africaine, 1994, p. 38.

 

« N’oublions pas seulement une chose, c’est qu’une partie de l’argent qui est dans d’autres porte-monnaies vient précisément de l’exploitation, depuis des siècles, de l’Afrique, pas uniquement, mais beaucoup, vient de l’exploitation de l’Afrique. Alors il faut avoir un peu de bon sens. Je ne dis pas de générosité, de bon sens, de justice, pour rendre aux Africains, je dirais, ce qu’on leur a pris, d’autant que c’est nécessaire si on veut éviter des pires convulsions ou difficultés avec les conséquences politiques que ça comporte dans la prochaine ère ».

Jacques Chirac (ancien président de la République française).

 

« Si je n’étais pas convaincu de la possibilité de chaque race de mener à bien sa réflexion intellectuelle, je me demande ce que nous faisons sur terre »

Extrait de la conférence de Cheikh Anta Diop à Niamey en 1984.

Cheikh Anta Diop, Les Voix de l’écriture,

UNESCO/RFI/KHEPERA/CNP-CAD-X, 1996.

 

Préface

L’Afrique s’éveille ? Non. L’Afrique se réveille. Un géant éveillé qui s’est endormi ne peut plus que se réveiller, l’éveil acquis. Son alchimie des Forces en sommeil a-t-elle abouti ? On attend, on observe. On agit aussi. On pense. On élabore et pose les conditions. On planifie aussi sans doute, des stratégies pour contrôler et au besoin contrer le réveil étant inévitable et d’ailleurs stimulant pour les véritables acteurs de la transformation. Peut-être entrevoit-on déjà la pierre philosophale ?

Encore faut-il savoir avec quel regard on cherche à voir l’avenir, question centrale, névralgique et irréductible de la problématique du crépuscule de la narcose africaine. Est-ce celui d’Anubis, de l’école kémite qui, bilanciel, établit sans appel les mérites avec lesquels on entre en latence et grâce auxquels on en sort ? Ou alors celui, perçant de l’aigle royal qui explore et anticipe sur ces bases ? Ou peut-être celui, économiciste et consumériste, du philistin contemporain qui ne juge de tout qu’en termes de valeur marchande. Puisqu’il faut bien aussi convaincre en toutes perspectives, y compris philistinistes, une question ne saurait être éludée : l’Afrique a-t-elle complété sa phase de déclin dans le cycle de la roue de la fortune ? On l’attend, peut-être la voit-on déjà sur sa pente remontante : vers le sommet ?

Les signes sont innombrables. Les observations et témoignages nombreux. Les statistiques sont prometteuses. À leur suite, les études académiques, les évaluations institutionnelles et autres travaux d’experts amorcent un tournant. Les titres fleurissent : Le Temps de l’Afrique ; Africa’s Turn?; Africa Rising: How 900 Million African Consumers Offer More than You Think Perspectives sur l’Afrique : futur géant économique ou non ? ; Chindiafrique : la Chine,l’Inde et l’Afrique feront le monde de demain Emerging Africa: How 17 Countries Are Leading the Way ; etc.

De cas humanitaire incurable, désespéré et désespérant, l’Afrique est de plus en plus reconnue comme futur moteur de la croissance économique mondiale, peut-être successeur de la Chine dans le rôle de principal centre manufacturier mondial à main-d’œuvre abondante et bon marché. Expliquant la nouvelle ruée vers l’Afrique, divers facteurs et opinions persistants suggèrent que le reste du monde le sait mieux que l’Afrique. D’où l’urgence de se saisir du discours pour mettre en perspective ces tendances et possibilités : c’est le premier mérite de l’ouvrage de Fweley Diangitukwa

S’il part des humanités kémites pour asseoir la Renaissance afin d’envisager un réveil de l’Afrique susceptible d’impacter le monde à sa dimension maximale, c’est bien parce que ce réveil doit s’enraciner dans son sous-sol. Il doit aller le plus loin possible dans ses fondations les plus solides, pour en envisager l’appropriation dans les deux sens : celui de l’adéquation à son milieu et celui de la prise de propriété par les dépositaires authentiques et les ayants droit. On en vient aux enjeux de l’endogénéité et de l’endogénéisation de l’émergence de l’Afrique et ses discours, la dominante exogène actuelle étant compromettante à plus d’un titre […]

4ème page de couverture

Ce livre est un projet pour l’avenir de l’Afrique. S’inscrivant dans la droite ligne des penseurs panafricanistes qui l’ont précédé dans la voie de l’unité africaine, l’auteur démontre qu’un autre avenir est possible à l’Afrique et qu’un autre monde est aussi possible à l’humanité tout entière : une voie plus sociale, plus juste et plus humaine.

Tout en cherchant à maîtriser les modèles de développement économique retenus par les pays développés, l’Afrique doit réfléchir à son propre modèle qui correspond à son histoire, à ses atouts, à ses attentes, à ses traditions et à ses cultures, pour ne pas reproduire servilement des modèles importés – même s’ils ont déjà fait leur preuve dans les pays où ils ont été initiés – parce qu’ils n’ont aucune emprise avec la réalité africaine. Si le modèle de l’État-nation occidental importé en Afrique a lamentablement échoué, il est à croire que le modèle de développement importé de l’étranger qui ne répond pas aux attentes des Africains échouera également. D’où la nécessité d’innover, de créer un modèle original et endogène.

L’Afrique ne saurait demeurer dans une imitation servile qui renforce sa dépendance envers les pays étrangers, elle doit parvenir à trouver sa propre voie en s’appuyant sur ses traditions et ses cultures qui ne doivent pas être vues comme un obstacle à son développement mais plutôt comme de véritables atouts qui l’enrichissent et la distinguent des autres.

Fweley Diangitukwa est Docteur en Sciences Économiques et sociales de l’Université de Genève. Professeur de Science Politique et de Sciences de Gestion. Il a enseigné au département de Science Politique de l’Université de Genève, à l’Université Omar Bongo à Libreville et à l’Université panafricaine (Yaoundé II-Soa). Il est l’auteur de plusieurs publications et de plusieurs articles scientifiques.

ISBN :978-2-9701040-2-5

 

Vient de paraître

Fweley Diangitukwa

 

L’AFRIQUE DOIT RENAÎTRE

Préface de Mbelu Babanya Kabudi

 

Editions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

Nombre de pages : 268

Prix : 20 euros

Pour commander

Fweley Diangitukwa

1, avenue Rolliez

1800 Vevey/Suisse

Téléphone : 00 41 78 898 54 84

afriquenouvelle@bluewin.ch

« Les puissances coloniales ne se retirent jamais de leur plein gré de quelque territoire que ce soit, sur lequel elles exercent un contrôle politique. Avant de partir, elles font des efforts surhumains pour créer des schismes et des rivalités qu’elles espèrent exploiter ensuite ».

Kwame Nkrumah, L’Afrique doit s’unir, éditions Présence Africaine 1994 [Payot, 1964], p. 78.

 

« Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir ».

Frantz Fanon, Les Damnés de la Terre, Paris, éditions Maspero en 1961.

 

« Le manque de constitutionnalisme en Afrique a miné le processus d’intégration régionale de plusieurs façons. Autant l’habitude du partage du pouvoir a servi d’appui à l’intégration régionale en Europe en facilitant la transition à des modes de direction supranationaux, autant son absence a, en Afrique, miné le processus. La concentration du pouvoir dans les mains des seuls chefs d’État a particulièrement compliqué le partage du pouvoir étant donné la jalousie avec laquelle chaque dirigeant a voulu protéger la souveraineté de son propre territoire »

Omoniyi Adewoye, « Constitutionnalisme et l’intégration économique », in Réal Lavergne (dir.), Intégration et coopération régionales en Afrique de l’Ouest, Paris, éditions Karthala, 1996, p. 379.

 

Préface

 Avant sa mauvaise rencontre avec les Arabes et les Européens, l’Afrique fut grande, puissante et souveraine. Cette affirmation n’est pas une idéalisation d’un passé mythique dont se réclameraient quelques élites africaines confrontées à une Afrique impuissante dans un monde multipolaire. Non. Lire ce livre de Fweley Diangitukwa permet d’aller à la rencontre de plusieurs historiens, sociologues, hommes politiques, philosophes, politologues, Africains ou Occidentaux, pouvant aider à l’étayer. L’une des questions que pourrait poser cette affirmation est la suivante : « Comment cette grande, puissante et souveraine Afrique n’a-t-elle pas pu résister à la conquête, à l’esclavage, à la traite négrière et à la colonisation européenne ? » Cette question soulève une autre : « Quels sont les outils auxquels l’Europe conquérante a-t-elle pu recourir pour conquérir l’Afrique ? »

Prétendre que l’Afrique-mère n’a pas pu résister à la conquête coloniale européenne est une contre-vérité. Soutenir que l’Europe conquérante a eu recours aux armes de destruction massive, à la religion et à l’imposition de sa culture à l’Afrique pour détruire les Africains et leurs espaces de vie permet de comprendre l’avantage qu’elle conserve dans la gestion des rapports de force avec ce ‘‘continent-mère’’. Voler ses terres et ses matières naturelles fut l’une des préoccupations des conquérants. À ce sujet, Fweley Diangitukwa note : « Le développement de l’Afrique s’arrêta lorsque notre continent perdit son autonomie et son indépendance politique à cause des guerres d’occupation menées par les Arabes, via l’idéologie islamique, et par les Européens pour prendre possession des terres africaines par la colonisation. »

Sera-t-il possible que la gestion de ces rapports de force puisse tourner un jour à l’avantage de l’Afrique ? Ce continent peut-il, dans un avenir plus ou moins proche, construire un partenariat multilatéral avec lequel les grands ensembles tels les États-Unis d’Amérique, les États-Unis d’Europe (c’est-à-dire l’Union européenne), les Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et la République Sud-Africaine) peuvent compter ? Dans ce livre, L’Afrique doit renaître, Fweley Diangitukwa estime que répondre positivement à toutes ces questions est impératif pour les Africains.

En dialoguant avec les différents historiens d’hier et d’aujourd’hui, surtout avec Aimé Césaire, Cheikh Anta Diop, Kwame Nkrumah, Joseph Ki-Zerbo, Théophile Obenga, etc., Fweley Diangitukwa nous partage une conviction. Pour lui, si l’Afrique veut recouvrer sa grandeur et sa souveraineté perdues, elle doit absolument s’unir. C’est-à-dire réaliser le rêve des Pères et Mères des indépendances africaines, des patriotes et panafricanistes. Comment peut-elle procéder pour réaliser cette unité ?

L’auteur de L’Afrique doit renaître propose des mécanismes d’intégration pluriels pouvant aider à réaliser rationnellement et sagement cette unité indispensable à la renaissance de l’Afrique. L’étude détaillée de ces mécanismes d’intégration constitue, à n’en point douter, l’un des apports importants du livre. Mais cette intégration ne peut réussir que si elle est conjuguée avec un effort permanent de réécriture de l’histoire africaine depuis l’Égypte antique jusqu’à ce jour. Pourquoi ? Parce qu’une bonne partie de l’histoire africaine écrite par l’Occident esclavagiste et colonialiste est, à quelques exceptions près, cyniquement falsifiée et négationniste. Elle est emprunte d’un ton moralisateur et culpabilisant pour les Africains […].

 

4ème page de couverture

 

L’Afrique est un continent extrêmement riche car elle a tout ce qu’il lui faut pour assurer son développement. Ce continent est un véritable scandale géologique parce qu’il contient toutes les formes de ressources connues. Rien ne lui manque : ni les minerais, ni la faune et la flore, ni les ressources humaines, ni les ressources financières qui sont continuellement placées dans les banques occidentales et dans les paradis fiscaux par les ennemis du continent, ni l’eau douce, ni les réserves énergétiques (hydraulique, éolienne et solaire).

Convoitée pendant longtemps, l’Afrique a été appauvrie pour empêcher, sinon retarder, son développement. La destruction de l’Afrique avait commencé avec Alexandre le Macédonien qui s’empara de la Bibliothèque d’Alexandrie, puis poursuivie sous l’empire romain avec Scipion Émilien qui décida, en 146 avant notre ère, de détruire Carthage. Avec la même hargne, la Libye fut détruite en 2011 par l’OTAN et la France pour mettre la main sur le pactole pétrolier de ce pays. Les époques changent mais les desseins, les moyens et les buts sont restés les mêmes : détruire l’Afrique pour la dominer.

Les matières premières de l’Afrique ne doivent plus faire le bonheur des autres nations au détriment des Africains eux-mêmes. Kwame Nkrumah l’a déjà dit :l’Afrique doit s’unir.Mais comment doit-elle procéder ? L’auteur apporte des éléments de réponse qui permettront à l’Afrique de renaître en ce siècle.

 

Fweley Diangitukwa est docteur en Sciences Économiques et Sociales de l’Université de Genève. Professeur de Science Politique et de Sciences de Gestion. Il a enseigné au département de Science Politique de l’Université de Genève, à l’Université Omar Bongo à Libreville au Gabon et à l’Université panafricaine à Yaoundé au Cameroun. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et de plusieurs articles publiés dans des revues scientifiques.

 

ISBN : 978-2-9701040-1-8

Nouvelle publication : « L’Afrique doit renaître »

24 Nov

Nouvelle publication

Fweley Diangitukwa

 L’AFRIQUE DOIT RENAÎTRE

Préface de Mbelu Babanya Kabudi

 Editions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

Nombre de pages : 268

Prix : 20 euros

Pour commander :

Fweley Diangitukwa

1, avenue Rolliez

1800 Vevey/Suisse

Téléphone : 00 41 78 898 54 84

afriquenouvelle@bluewin.ch

 « Les puissances coloniales ne se retirent jamais de leur plein gré de quelque territoire que ce soit, sur lequel elles exercent un contrôle politique. Avant de partir, elles font des efforts surhumains pour créer des schismes et des rivalités qu’elles espèrent exploiter ensuite ».

Kwame Nkrumah, L’Afrique doit s’unir, éditions Présence Africaine 1994 [Payot, 1964], p. 78.

« Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir ».

Frantz Fanon, Les Damnés de la Terre, Paris, éditions Maspero en 1961.

 

« Le manque de constitutionnalisme en Afrique a miné le processus d’intégration régionale de plusieurs façons. Autant l’habitude du partage du pouvoir a servi d’appui à l’intégration régionale en Europe en facilitant la transition à des modes de direction supranationaux, autant son absence a, en Afrique, miné le processus. La concentration du pouvoir dans les mains des seuls chefs d’État a particulièrement compliqué le partage du pouvoir étant donné la jalousie avec laquelle chaque dirigeant a voulu protéger la souveraineté de son propre territoire »

Omoniyi Adewoye, « Constitutionnalisme et l’intégration économique », in Réal Lavergne (dir.), Intégration et coopération régionales en Afrique de l’Ouest, Paris, éditions Karthala, 1996, p. 379.

 Préface

Avant sa mauvaise rencontre avec les Arabes et les Européens, l’Afrique fut grande, puissante et souveraine. Cette affirmation n’est pas une idéalisation d’un passé mythique dont se réclameraient quelques élites africaines confrontées à une Afrique impuissante dans un monde multipolaire. Non. Lire ce livre de Fweley Diangitukwa permet d’aller à la rencontre de plusieurs historiens, sociologues, hommes politiques, philosophes, politologues, Africains ou Occidentaux, pouvant aider à l’étayer. L’une des questions que pourrait poser cette affirmation est la suivante : « Comment cette grande, puissante et souveraine Afrique n’a-t-elle pas pu résister à la conquête, à l’esclavage, à la traite négrière et à la colonisation européenne ? » Cette question soulève une autre : « Quels sont les outils auxquels l’Europe conquérante a-t-elle pu recourir pour conquérir l’Afrique ? »

Prétendre que l’Afrique-mère n’a pas pu résister à la conquête coloniale européenne est une contre-vérité. Soutenir que l’Europe conquérante a eu recours aux armes de destruction massive, à la religion et à l’imposition de sa culture à l’Afrique pour détruire les Africains et leurs espaces de vie permet de comprendre l’avantage qu’elle conserve dans la gestion des rapports de force avec ce ‘‘continent-mère’’. Voler ses terres et ses matières naturelles fut l’une des préoccupations des conquérants. À ce sujet, Fweley Diangitukwa note : « Le développement de l’Afrique s’arrêta lorsque notre continent perdit son autonomie et son indépendance politique à cause des guerres d’occupation menées par les Arabes, via l’idéologie islamique, et par les Européens pour prendre possession des terres africaines par la colonisation. »

Sera-t-il possible que la gestion de ces rapports de force puisse tourner un jour à l’avantage de l’Afrique ? Ce continent peut-il, dans un avenir plus ou moins proche, construire un partenariat multilatéral avec lequel les grands ensembles tels les États-Unis d’Amérique, les États-Unis d’Europe (c’est-à-dire l’Union européenne), les Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et la République Sud-Africaine) peuvent compter ? Dans ce livre, L’Afrique doit renaître, Fweley Diangitukwa estime que répondre positivement à toutes ces questions est impératif pour les Africains.

En dialoguant avec les différents historiens d’hier et d’aujourd’hui, surtout avec Aimé Césaire, Cheikh Anta Diop, Kwame Nkrumah, Joseph Ki-Zerbo, Théophile Obenga, etc., Fweley Diangitukwa nous partage une conviction. Pour lui, si l’Afrique veut recouvrer sa grandeur et sa souveraineté perdues, elle doit absolument s’unir. C’est-à-dire réaliser le rêve des Pères et Mères des indépendances africaines, des patriotes et panafricanistes. Comment peut-elle procéder pour réaliser cette unité ?

L’auteur de L’Afrique doit renaître propose des mécanismes d’intégration pluriels pouvant aider à réaliser rationnellement et sagement cette unité indispensable à la renaissance de l’Afrique. L’étude détaillée de ces mécanismes d’intégration constitue, à n’en point douter, l’un des apports importants du livre. Mais cette intégration ne peut réussir que si elle est conjuguée avec un effort permanent de réécriture de l’histoire africaine depuis l’Égypte antique jusqu’à ce jour. Pourquoi ? Parce qu’une bonne partie de l’histoire africaine écrite par l’Occident esclavagiste et colonialiste est, à quelques exceptions près, cyniquement falsifiée et négationniste. Elle est emprunte d’un ton moralisateur et culpabilisant pour les Africains […].

 4ème page de couverture

 L’Afrique est un continent extrêmement riche car elle a tout ce qu’il lui faut pour assurer son développement. Ce continent est un véritable scandale géologique parce qu’il contient toutes les formes de ressources connues. Rien ne lui manque : ni les minerais, ni la faune et la flore, ni les ressources humaines, ni les ressources financières qui sont continuellement placées dans les banques occidentales et dans les paradis fiscaux par les ennemis du continent, ni l’eau douce, ni les réserves énergétiques (hydraulique, éolienne et solaire).

Convoitée pendant longtemps, l’Afrique a été appauvrie pour empêcher, sinon retarder, son développement. La destruction de l’Afrique avait commencé avec Alexandre le Macédonien qui s’empara de la Bibliothèque d’Alexandrie, puis poursuivie sous l’empire romain avec Scipion Émilien qui décida, en 146 avant notre ère, de détruire Carthage. Avec la même hargne, la Libye fut détruite en 2011 par l’OTAN et la France pour mettre la main sur le pactole pétrolier de ce pays. Les époques changent mais les desseins, les moyens et les buts sont restés les mêmes : détruire l’Afrique pour la dominer.

Les matières premières de l’Afrique ne doivent plus faire le bonheur des autres nations au détriment des Africains eux-mêmes. Kwame Nkrumah l’a déjà dit : l’Afrique doit s’unir. Mais comment doit-elle procéder ? L’auteur apporte des éléments de réponse qui permettront à l’Afrique de renaître en ce siècle.

 Fweley Diangitukwa est docteur en Sciences Économiques et Sociales de l’Université de Genève. Professeur de Science Politique et de Sciences de Gestion. Il a enseigné au département de Science Politique de l’Université de Genève, à l’Université Omar Bongo à Libreville au Gabon et à l’Université panafricaine à Yaoundé au Cameroun. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et de plusieurs articles publiés dans des revues scientifiques.

ISBN : 978-2-9701040-1-8

Nouvelle publication. Fweley Diangitukwa, « Leadership et management. L’exemple suisse »

14 Avr

Nouvelle publication

Je vous annonce ma nouvelle publication :

Fweley Diangitukwa, Leadership et management. L’exemple suisse, éditions Presses académiques francophones, Saarbrüken (Allemagne), mars 2015, 320 pages.

Pour commander un exemplaire, veuillez contacter Madame Vanessa Leroy :

v.leroy@presses-academiques.com

Ouvrir pour voir la 1ère et la 4e pages de couverture :

https://www.presses-academiques.com//system/covergenerator/build/4073

 

LEADERSHIP ET MANAGEMENT. L’EXEMPLE SUISSE

La Suisse est-elle un modèle, une exception ou un exemple à suivre ? Comment ce pays, qui est enclavé, c’est-à-dire sans accès à la mer ou à l’Océan, dépourvu de ressources naturelles, est-il devenu l’un des pays les plus riches et les plus stables au monde ? La première partie de ce livre présente les idées les plus pertinentes sur les concepts de leadership et de management et la deuxième partie présente l’exemple suisse pour illustrer concrètement les théories présentées dans la première partie. Lorsqu’on s’intéresse au développement des nations, on découvre vite l’existence des postulats ou des piliers qui permettent à un pays d’aller constamment de l’avant. En effet, il y a une corrélation entre le leadership, le management et le développement économique d’un pays. Les pays qui ont le meilleur système éducatif, les meilleures écoles de management et de bons entrepreneurs sont les plus développés. L’importance qu’un pays accorde au leadership, à l’invention, à l’innovation, à la recherche et au savoir managérial des entrepreneurs explique en grande partie son niveau de développement économique. Cette assertion se vérifie pleinement en ce qui concerne la Suisse.

Fweley Diangitukwa est docteur en sciences économiques et sociales. Il a enseigné au département de science politique de l’Université de Genève, à Schiller International University, à l’Université Omar Bongo à Libreville et à l’Université panafricaine à Yaoundé. Initiateur de Muanda Business School (MBS) à Muanda (RDC), il est l’auteur de plusieurs publications. 

ISBN : 978-3-8381-7926-1

Vient de paraître : Guy-Lambert SANTIMI, « RELATIONS NORD-SUD, UN GRAND SCANDALE », éditions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

10 Août

Vient de paraître aux éditions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

Guy-Lambert SANTIMI,

« RELATIONS NORD-SUD, UN GRAND SCANDALE »

Préface de Louis LAURENT, député fédéral belge

ISBN : 978-2-8399-1450-5

Prix : 25 francs suisses

Contactez-nous pour commander votre exemplaire : afriquenouvelle@bluewin.ch ou au 0041 (0) 78 765 94 41

 

4ème page de couverture

 

Dans ce livre, l’auteur analyse les causes endogènes et exogènes, voire occultes, du non-décollage de la RD Congo et de la plupart des pays africains. En comparant la période des indépendances africaines et la période actuelle, il conclut que les dirigeants politiques africains d’aujourd’hui ont, pour la plupart, trahi le continent en scellant des alliances peu orthodoxes et avec les anciennes Métropoles et avec les firmes transnationales qui exploitent les ressources naturelles du continent.

Il rappelle qu’au Congo, la résistance aux forces étrangères remonte au XVIe siècle, avec des personnalités légendaires comme Béatrice Kimpa Vita, Manuel Ne-Mvunda. Leur lutte a été poursuivie jusqu’à l’année 1960 qui correspond à l’indépendance du Congo. Puis, plus rien, sinon le règne des autocrates. Cette situation ressemble étrangement à celle de la plupart des pays. L’Afrique est aujourd’hui entrée dans une période des complicités malsaines conduisant à l’assassinat de leaders africains qui expriment clairement leur vision. Elle est ainsi devenue le continent qui compte le plus grand nombre de chefs d’État assassinés pendant l’exercice de leur mandat. Mais qui sont les véritables auteurs de ces crimes crapuleux ?

Tout en éclairant les méfaits subis par l’Afrique, l’auteur s’attarde sur les erreurs commises par les hommes au pouvoir et esquisse des voies de sortie. Il invite les Africains et leurs dirigeants de changer de trajectoire pour permettre le développement du continent. Ceux qui cherchent à s’engager en politique y trouveront des recettes pour leur future carrière.

Guy-Lambert SANTIMI est de nationalité congolaise. Licencié en Philosophie et Lettres de l’Université de Lubumbashi, il est aussi agrégé en pédagogie appliquée de la même Université. Après une formation en management bancaire à l’Institute of Bankers à Nairobi (Kenya) et à l’Indian Institute of Banking Research de New-Delhi (Inde), il a été successivement Directeur des Opérations à la Grindlays Bank International (Kinshasa), adjoint commercial à la Banque congolaise du commerce extérieur, Administrateur Directeur Général à la Société congolaise de Banques et Conseiller aux Investissements auprès du groupe financier Métropole-Europe S.A./Belgique.

ISBN : 978-2-8399-1450-5

Pour commander :

Fweley Diangitukwa

éditions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

1, avenue Rolliez

1800 Vevey

Suisse

Nouvelle publication : « COMMENT DEVENIR UN LEADER CHARISMATIQUE ET EFFICACE »

14 Nov

FWELEY DIANGITUKWA & DJAWED SANGDEL

« COMMENT DEVENIR UN LEADER CHARISMATIQUE ET EFFICACE »

Editions Monde Nouveau, Novembre 2013, 328 pages

Prix : 30 francs suisses

Pour commander un exemplaire ou des exemplaires, veuillez nous écrire à :

f.diangitukwa@bluewin.ch

ISBN : 978-2-8399-1268-6

 

Les auteurs

Fweley Diangitukwa, Docteur en sciences économiques et sociales de l’Université de Genève, est professeur de science politique et Directeur de l’École doctorale de SWISS UMEF UNIVERSITY. Il a publié des livres sur la gouvernance, le pouvoir, la méthodologie de recherche, le développement, la géopolitique, la stratégie, etc. qui sont utilisés comme manuels d’enseignement dans plusieurs Universités du monde.

Djawed Sangdel, Docteur en management et en entrepreneuriat, a une expérience pratique d’environ soixante-dix-huit pays dans le domaine de gestion. Il est le président de SWISS UMEF UNIVERSITY qui est active sur trois continents : à Genève en Suisse, à Kaboul en Afghanistan et à Dakar au Sénégal. Son dynamisme et sa détermination sont à l’origine de son succès entrepreneurial.

Contenu

pp. 13-17

Dans une société moderne où les femmes et les hommes sont plus rationnels, plus informés et plus exigeants, comment peut-on justifier la présence d’un leader ? De même, dans une société moderne où les hommes et les femmes exigent le recours à la démocratie qui est le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple – c’est-à-dire le gouvernement de tous issu du respect de la volonté générale –, comment peut-on justifier la présence d’un meneur dans la société ? Pour le dire différemment, pour quelle raison, dans toutes les formes de régime politique, les foules ont-elles toujours ressenti le besoin d’avoir un chef (leader) pour agir ? Pour quelle raison, livrées à elles-mêmes, les foules ressemblent-elles à des moutons sans maître ?

Tout au long de ce livre, nous tâcherons de répondre à ces questions cruciales qui justifient en quelque sorte la présence d’un leader et le leadership à travers le temps. C’est l’urgence de répondre à ces questions qui nous a conduits à écrire ce livre. Nous proposons des analyses et des réflexions qui permettent aux lecteurs de découvrir progressivement les différents aspects de la problématique.

Notre première hypothèse de travail est simple. Nous postulons que les pays qui ont des leaders de type Leader par défaut, Affectif, Patriarche et Winner ont plus de problèmes que les pays qui ont des leaders de type Chef d’équipe, Créateur ou Sage. Pour se développer, les pays appartenant au premier groupe doivent se donner des leaders qui agissent comme ceux du second groupe.

Notre deuxième hypothèse est l’idée suivante : les styles de leadership appliqués aux entreprises peuvent être appliqués au fonctionnement d’un État car une nation ressemble à une grande entreprise. Si « la valeur d’un dirigeant (manager) doit se mesurer à ses performances économiques, ce qui ne signifie pas nécessairement la création de profits maximaux mais plutôt de profits suffisants pour couvrir les risques pris et éviter des pertes à l’entreprise », la valeur d’un leader politique doit se mesurer au degré de satisfaction des citoyens, ce qui ne signifie pas nécessairement la création de salaires importants mais plutôt de conditions de vie satisfaisantes pour éviter des contestations, des conflits et des guerres à la nation.

Les entreprises, comparables à une nation, remplissent trois rôles essentiels : la production (de l’entreprise) ressemble au rôle rempli par le peuple, le management ressemble aux institutions et le rôle du manager-leader ressemble à celui des dirigeants dans une nation. Le rôle de manager et/ou de leader est absolument crucial dans le développement de l’entreprise ou de la nation.

Dans notre troisième hypothèse, nous postulons que les pays qui promeuvent le leadership participatif assurent leur développement tandis que les pays qui connaissent le leadership autoritaire retardent leur développement. Cette hypothèse nous conduira à prouver que les pays du tiers-monde, en particulier les pays africains, ne se développent pas à cause de leurs leaders. Ces pays ont des leaders qui gouvernent selon le modèle autocratique et tyrannique là où les pays développés s’inspirent du modèle adhocratique et participatif propre aux industries de pointe qui innovent régulièrement et qui réagissent rapidement à des marchés capricieux. Les leaders à l’ancienne, de type Leader par défautPatriarcheWinner, n’aident pas leurs pays à se développer. On peut certes évoquer la mainmise des États étrangers et des firmes transnationales sur la gestion des pays africains, mais les bons leaders sont justement ceux qui savent trouver des solutions aux situations difficiles. Cette excuse ne justifie donc pas le fait que les pays africains sont mal dirigés et mal gouvernés à cause de la qualité des leaders car beaucoup d’entre eux se complaisent dans la soumission aux grandes puissances militaires et aux firmes transnationales qui organisent le pillage des ressources naturelles des pays du tiers-monde et qui procurent le soutien nécessaire à leurs affidés pour les aider à se maintenir au pouvoir.

Nous postulons dans notre quatrième hypothèse que le rôle des femmes est négligeable dans le management et le leadership à cause du poids culturel (l’éducation reçue) et de la place qu’occupent les femmes dans la société.

Si nous avons l’ambition de réunir un certain nombre d’éléments relatifs au concept de leadership, nous n’avons pas la prétention de construire une unité globale du savoir sur ce concept. Il est connu que « entre le réel et le concept, la distance est infinie. Nous ne pouvons donc jamais connaître que des fragments, non point le tout, car le tout est lui-même une espèce de singularité qui défie la somme de toutes les singularités concevables ». Ce sujet ne sera pas épuisé malgré notre volonté de dire l’essentiel sur le leader et le leadership.

En établissant une typologie du charisme, nous faisons la différence entre le leader charismatique et le leader pathologique afin d’éviter toute confusion dans l’analyse. Hitler, Staline, Idi Amin Dada, Mobutu, etc. sont certes des leaders, mais il faut vite préciser en disant qu’ils sont des leaders pathologiques, contrairement à Gandhi, Mandela, Lula, Obama, etc. qui, eux, sont des leaders charismatiques et efficaces. Nous adoptons le profil du chercheur pour comprendre et analyser la conduite de l’homme d’action que la société reconnaît et accepte comme leader.

4ème page de couverture

Contrairement à la tradition largement répandue, le leadership n’est pas inné. Il est le résultat d’un travail de longue haleine sur soi et sur son rapport aux autres. Certes, il faut avoir des prédispositions et des capacités qui facilitent le parcours mais elles ne servent à rien si elles ne sont pas soutenues par l’engagement et la persévérance du candidat au leadership. Pour briller et se distinguer en se plaçant au-dessus des autres, il faut beaucoup travailler. Le coup de chance n’existe pas dans ce domaine. Il faut connaître et appliquer un certain nombre de règles que les leaders les plus charismatiques du monde ont utilisées depuis la nuit des temps. Ce livre décrit les plus importantes et les plus indispensables.

Si le leadership vous intéresse ou vous préoccupe et si vous voulez devenir un leader charismatique et efficace, lisez ce livre. Il vous sera d’une très grande utilité. Vous comprendrez pour quelle raison beaucoup de pays ne se développent pas ou se développent mal. Les causes fondamentales de l’échec cuisant de beaucoup d’entreprises commerciales et des sociétés humaines se trouvent dans le leadership et le management.

Vous découvrirez les erreurs des managers qui échouent et des leaders qui n’atteignent pas leurs objectifs. Ce livre trace la voie royale qui conduit au succès.

Pour commander :

Fweley Diangitukwa

éditions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle

1, avenue Rolliez

1800 Vevey

Suisse

 

Publications de Fweley Diangitukwa

Aux éditions L’Harmattan

–   Notre vie est un mystère. Cette chambre-là, May (récit), Préface Éric Sellin, Temple University, Philadelphia, USA, Paris, 2013.

–   La thèse du complot contre l’Afrique. Pourquoi l’Afrique ne se développe pas (essai), Paris, 2010.

–   Les grandes puissances et le pétrole africain. États-Unis – Chine : une compétition larvée pour l’hégémonie planétaire (essai), Paris, 2009.

–   Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée (essai), Paris, 2008. Préface de Mohamed Sahnoun, ancien envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies dans les Grands Lacs.

–   Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC, Paris, 2007.

–   Le règne du mensonge politique en RDCongo. Qui a tué L.-D. Kabila ?, Paris, 2006.

–   Géopolitique, intégration régionale et mondialisation (essai), Paris, 2006.

–   Qu’est-ce que le pouvoir ? (essai), Paris, 2004.

–   Pouvoir et clientélisme au Congo-Zaïre-RDC (essai), Paris, 2001.

–   Qui gouverne le Zaïre ? La République des copains (essai), Paris, 1997. Préface de Jean-Claude Willame, Université catholique de Louvain, Belgique.

Chez d’autres éditeurs

–   Méthodologie du mémoire et de la thèse, Presses Académiques Francophones, Saarbrücken, Germany, 2012, 144 pages (grand format).

–   Stratégies pour la conquête, l’exercice et la conservation du pouvoir, Saint-Légier (Suisse), Monde Nouveau/Afrique Nouvelle, 2011, 236 pages.

–   Gouvernanceaction publique et démocratie participative, Dictus Publishing Saarbrücken, Germany, 2e édition 2012.

–   Gouvernanceaction publique et démocratie participative, Saint-Légier (Suisse), Monde Nouveau/Afrique Nouvelle, 2011, 270 pages.

–   Lettre à tous les Congolais. Savoir gouverner et servir la République, Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 2003.

–   L’exercice du pouvoir au Japon et en Afrique, Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 2001.

–   Le Paradis violé (roman), Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1996.

–   Quelle solution pour l’Afrique ? (théâtre), Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1993.

–   Maréchal Mobutu, je vous parle (pamphlet), Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1990.

–   Couronne d’épines (poèmes), Paris, Saint-Germain-des-Prés, 1985.

–   Cette chambre-là, May (récit), Matadi, CEZ, 1985 et Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1990. Préface Éric Sellin, Temple University, Philadelphia, USA.

Notre vie est un mystère. Cette chambre-là, May (nouvelle publication de Fweley Diangitukwa)

7 Jan

« Notre vie est un mystère. Cette chambre-là, May »

Nouvelle publication de Fweley Diangitukwa aux éditions L’Harmattan.

 ISBN : 978-2-296-99819-3

 Prix : 14,50 €

 

Chers Compatriotes,

 J’ai la joie de vous annoncer ma nouvelle publication.

Les lectures qui vivent en RDC s’adressent à la librairie L’Harmattan à Kinshasa. Ce livre est déjà sur e-book.

Les étudiants qui travailleront sur cette publication ou sur un autre livre de Fweley Diangitukwa pour leur mémoire de fin d’études recevront un soutien de l’auteur. 

4ème page de couverture

 L’homme a été créé à l’image de Dieu mais il s’est éloigné de la représentation de son Créateur. Pour quitter cette vallée de souffrance et de larmes et retourner vers la source dont il émane, il doit subir de multiples épreuves sur cette terre qui lui permettent d’être plus réfléchi, plus lucide et plus résolu afin d’entreprendre son évolution intérieure et son voyage spirituel vers le Père qui est dans les Cieux.

 Ce privilège ne concerne que ceux qui le désirent ardemment et qui en acceptent les sacrifices. Avoir la foi ne suffit pas. Il faut en plus se préparer laborieusement et entreprendre le voyage de retour.

 La vie est un mystère. L’homme n’a jamais demandé de venir sur terre et, dans la plupart des cas, il ne demande pas de la quitter. Entre la naissance et la mort se trouve la vie. Mais qu’est-ce que la vie ? A quoi sert-elle et quelle est la véritable mission de l’homme sur terre ? Malgré ses efforts et ses expériences, l’homme mortel n’a jamais réussi à apprivoiser la vie et à la dompter. Il meurt comme il est né : dans l’ignorance la plus totale sur le mystère de la vie.

L’homme spécule sur la vie et il arrive souvent qu’il croie à la construction mentale de ses propres idées qu’il appelle « philosophie » mais pour quelle raison ne parvient-il pas à répondre à ses angoisses existentielles et à la question la plus préoccupante, pourtant la plus simple : « Qu’est-ce que la vie ? »

 Fweley Diangitukwa (RD Congo) est docteur en sciences économiques et sociales, mention science politique. Il est également diplômé en pédagogie appliquée. Il a enseigné au département de science politique de l’Université de Genève, à Schiller International University, à Leysin (Suisse) et à Dunya University à Kaboul en Afghanistan.

Fweley Diangitukwa aux éditions Dictus Publishing en Allemagne

10 Oct

Vient de paraître

Fweley Diangitukwa, « GOUVERNANCE, ACTION PUBLIQUE ET DEMOCRATIE PARTICIPATIVE »

Chemins vers de nouveaux modes de régulation sociale

323 pages, très grand format

Indications pour la commande via le site des éditions Dictus Publishing

Publication numéro 6490.
Numéro ISBN : 978-3-8473-8507-3

Prix de l’exemplaire fixé par l’Editeur : 79.00 euros

Pour la commande de cet ouvrage, veuillez écrire à l’adresse suivante : 
 « www.morebooks.fr »

ou vous adresser à n’importe quelle grande librairie en indiquant le numéro ISBN du livre.

Pour écrire directement à l’auteur : « f.diangitukwa@bluewin.ch »

4ème page de couverture

Si le gouvernement représentatif a été pendant longtemps l’idée maîtresse et la référence pour diriger les hommes, il tend à ne plus l’être depuis l’émergence de la gouvernance et de la démocratie participative. Aujourd’hui, les États et les entreprises recourent à ces concepts pour assurer la stabilité sociale et pour se développer. Pour cette raison, non seulement la gouvernance a le vent en poupe mais en plus elle est devenue une référence pour conduire une entreprise et la société en général.

Plusieurs idées sont discutées dans ce livre qui s’adresse à la fois aux décideurs politiques, aux responsables des administrations publiques, aux étudiants en sciences sociales, aux spécialistes du droit, de l’économie d’entreprise mais aussi à toute personne qui cherche à reculer les limites de ses connaissances sur les concepts de gouvernance, d’action publique et de démocratie participative ou qui est appelée à diriger des femmes et des hommes. La gouvernance a l’avantage de rendre effective et directe la participation des citoyens ordinaires à l’exercice du pouvoir. Mais qu’est-ce que la gouvernance ? Pourquoi revendique-t-on ce concept pour gouverner les républiques modernes ? Pourquoi les grandes villes modernes sont-elles gouvernées différemment ? Comment assurer une meilleure régulation sociale ? Comment réformer les Nations Unies ? Ces questions essentielles aident à débusquer la gouvernance, ses ressorts et ses différentes manifestations.

Depuis la fin de la guerre froide, il y a une demande accrue pour une plus grande transparence dans la gestion des affaires publiques, pour plus de démocratie participative et pour un renforcement du pouvoir local afin d’éviter une surcharge de demandes. A partir de l’interprétation des signaux émis par les groupes sociaux, l’accent est désormais mis sur la prévision et la participation afin de mieux adapter les politiques publiques aux situations imprévues. Les demandes sociales exprimées sous la forme d’inputs ramènent au concept-clé de gouvernance et c’est par une extrême décentralisation que la scène politique devient un ensemble spécifique capable de s’autoréguler. Ce sont la recherche de l’autonomie des acteurs venus d’horizons différents et leurs interactions multiples qui fondent désormais le pluralisme politique. En proposant la création d’un quatrième pouvoir qu’il appelle « pouvoir délibératif » en plus de trois pouvoirs que nous connaissons, à savoir : législatif, exécutif et judiciaire, Fweley Diangitukwa innove dans le raisonnement et dans l’approche du pouvoir. Ce quatrième pouvoir sera détenu par les citoyens (peuple).

Ce livre explique les fondements et les manifestations de trois concepts. A travers la gestion des biens publics mondiaux, la réforme de l’ONU et l’implication directe des citoyens ordinaires appelés à bâtir un monde plus équilibré et plus juste, l’auteur s’interroge sur l’avenir de notre planète.

 Fweley Diangitukwa (RD Congo) vit en Suisse. Il est docteur en sciences économiques et sociales, mention science politique. Il a enseigné au département de science politique de l’Université de Genève, à Schiller International University, à Leysin (Suisse) et à Dunya University à Kaboul (Afghanistan). Il est l’auteur de nombreux ouvrages.

 Publications de Fweley Diangitukwa sur la RD Congo :

 – Stratégies pour la conquête, l’exercice et la conservation du pouvoir, Saint-Légier (Suisse), Monde Nouveau/Afrique Nouvelle, 2011, 236 pages.

Pouvoir et clientélisme au Congo-Zaïre-RDC (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 2001.

Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC, Paris, Editions L’Harmattan, 2007.

Le règne du mensonge politique en RD Congo. Qui a tué L.-D. Kabila ?, Paris, Editions L’Harmattan, 2006.

Lettre à tous les Congolais. Savoir gouverner et servir la République, Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 2003.

Qui gouverne le Zaïre ? La République des copains (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 1997. Préface de Jean-Claude Willame, Université catholique de Louvain, Belgique.

Le Paradis violé (roman), Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1996.

Quelle solution pour l’Afrique ? (théâtre), Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1993.

Maréchal Mobutu, je vous parle (pamphlet), Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1990.

Couronne d’épines (poèmes), Paris, Saint-Germain-des-Prés, 1985.

Cette chambre-là, May, Matadi (récit), CEZ, 1985 et Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 1990. Préface d’Éric Sellin, Temple University, Philadelphia, USA, 2e édition à paraître aux éditions L’Harmattan, 2012.

 Publications de Fweley Diangitukwa sur l’Afrique :

 – La thèse du complot contre l’Afrique. Pourquoi l’Afrique ne se développe pas (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 2010.

Les grandes puissances et le pétrole africain. États-Unis – Chine : une compétition larvée pour l’hégémonie planétaire (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 2009.

Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 008. Préface de Mohamed Sahnoun, ancien envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies dans les Grands Lacs.

Géopolitique, intégration régionale et mondialisation (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 2006.

 Publications de Fweley Diangitukwa sur le monde :

 – Méthodologie du mémoire et de la thèse ou L’art d’écrire un travail de recherche, éditions Presse académiques francophones, Allemagne, 2012

Gouvernance, action publique et démocratie participative, 2ème édition aux aux éditions Dictus Publishing, Allemagne, 2012, 323 pages (très grand format) et 1ère édition aux éditions Monde Nouveau/Afrique Nouvelle, Saint-Légier (Suisse), 2011, 270 pages.

Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 2008. Préface de Mohamed Sahnoun, ancien envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies dans les Grands Lacs.

Géopolitique, intégration régionale et mondialisation (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 2006.

Qu’est-ce que le pouvoir ? (essai), Paris, Editions L’Harmattan, 2004.

L’exercice du pouvoir au Japon et en Afrique, Saint-Légier (Suisse), Afrique Nouvelle, 2001.